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Bio

Patrick Chartol est compositeur,

bassiste et artiste visuel : peinture, installations,Vj (Vidéo-jokey)

 Musique


1er prix d’excellence avec félicitation du jury de l’Union des conservatoires de l’Essonne 

Sociétaire définitif SACEM

Membre des formations musicales « Claire Michael Quintet » (jazz),
« After in Paris » (electro jazz)

« Try Paradise » (World music).
Il a également été membre de Nekropsi

et a joué pendant 6 ans avec le tromboniste Raul de Souza en France et au Brésil.

Il a participé à des sessions d'enregistrements ou à des concerts live avec :
Mc Solaar, Dave Liebman, Claude Confortés, Paolo Fresu,
Laco Tayfa, Didier Lockwood, Toninho Horta,

Caito Marcondes, Ray Lema, Sertab Erener


Les musiciens qui jouent sur son album « Istanbul » sont :
Sarp Maden, Adnan Karaduman, Basar Dikici, Bulent Altinbas,

Ercan Dursun, Tarik Tüysüzoglu et Baris Biktim.

Avec le groupe « After in Paris »,

Il compose pour le théâtre, la radio et le cinéma :

 

Scènes Conjugales (Ariane Pick)

Réalité (Quentin Dupieux) avec Alain Chabat

Sils Maria (Olivier Assayas) avec Juliette Binoche

L’amant double » (François Ozon)

La Pagaïe (Ariane Pick)

The Archer’s Hand (Sebastien Simon)

Vue de l’Esprit (Sebastien Simon)

Nationale (Alix Barbey)

Sans Kapiyi Kirinca (Tayfun Guneyer)

Emmenez-moi (Edmond Bensimon)

Ilgisiz (Nur Akalin)

Oreiller d’herbe (Nicolas Worms, Valerie Archeneau)

et plus récemment « Pour des queues de cerises » de Jean-Henri Meunier

Il est édité par BMG Music, RFI Instrumental, Parigo Music, Universal Music, …

 

Partie visuelle



Pour lui, la musique et les arts visuels sont constamment reliés ;
Les sons et les images se répondent comme dans un jeu de miroirs.

En juillet 2017, il est invité en résidence d’artiste à la Traverse

par l’océanographe Diana Ruiz Pino (prix nobel)

et collabore avec l’artiste suédois Leif e Boman.
Ensemble, Ils élaborent le projet « SOIL » :
Une symphonie inspirée par les échantillons de terre que Leif Boman

a récolté dans tous les pays du monde.

La première aura lieu en Suède en 2024.

En 2022, Ibrahim Spahic leur commande une vidéo qui sera diffusée

au musée national de Bosnie-Herzégovine.

Patrick Chartol rencontre également l’astrophysicien Cyril Lachaud

et travaille sur des peintures et vidéos inspirées de masques codés

utilisés par la NASA pour situer les sursauts Gamma dans l’espace.

Depuis juillet 2022, Patrick Chartol s’intéresse aux images générées

par l’intelligence artificielle (IA)

Il a créé des images et réalisé des films à partir de ces images.




 

Presse

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« Nous sommes conviés à un extraordinaire et fabuleux voyage sonore

avec les musiques proposées sur cet album !
Le voyage et le dépaysement poétique sont assurés pour

tous ceux qui sont tentés par ce superbe périple sonore. 

Embarquement impératif ! »


(extrait de Paris Move sur Try Paradise)


"Et si je n’ai vu de pomme, ni d’Eve, ni d’Adam…
Il y a quand même un serpent…
Oh pas méchant je vous rassure.
Le reptile se présente sous la forme d’une Basse Fretless,

que l’on n’attend pas ici,

mais que l’on peine à imaginer sans…
Elle se love dans des endroits inattendus,

ose le solo,

tout en restant discrète.
Ce combo improbable délivre la plus soyeuse des musiques paradisiaques…
Laissez-vous tenter…"


À vos marques tapage sur Try Paradise

“un monde musical nouveau et personnel très suggestif et onirique,

mélodieux et fascinant’ 

Mark Sander

 

« Icône du renouveau musical turc (…) ses harmonies sont tellement cassées, douloureuses qu’elles aboutissent à une mélodie parfaite »

Libération

 

« Nekropsi quintette turc qui rend viable une nouvelle rencontre

entre les harmonies orientales et le rock (…)

A une mécanique rythmique sans rigidité s’ajoutent des entrelacs de guitares

et de voix synthétiques qui ont la fraîcheur nostalgique d’un certain psychédélisme » 

Alain Siclier Le Monde

 

« Un disque surprenant et déroutant.

Très richement inspiré.

Véritable voyage musical intemporel atypique mêlant inspiration progressive

et musique classique (influence de Fauré, Ravel)

avec quelques touches ethniques (…)

les voix utilisées comme des instruments forment un monde musical nouveau

et personnel très suggestif et onirique,

mélodieux et fascinant

Mark Sander

 

“ La Musique du groupe After In Paris est un appel à la vie.

Elle nous redonne le goût du bonheur perdu, de la joie d’exister.

Elle nous fait entendre les mélodies de l’émotion, les sons de l’énergie de l’espoir, l

es rythmes de l’amour. On parle de la musique des sphères dans l’espace inter-galactique.

On peut parler, pour After In Paris de la musique du cœur et de l’esprit “ 

Claude Confortés

 

“Merci pour Teknikolor que j’ai écouté avec plaisir”

Costa Gavras

 

“ Devant les partitions live d’une subtilité certaine,

on retrouve ici des rythmes oscillant entre breackbeat,

soft drum & bass et bossa.

Bien senti”

Coda Magazine

 

…Parfois contemplatives, parfois emportées,

les constructions sonores de Time Cycle

sont de celles qui révèlent, d'écoute en écoute,

leurs mystères, surprises et émotions.

Alain Siclier Le Monde

 

Un « gamer » et ses gammes (à propos de l'exposition GAM E XPO)

Ce qui frappe au premier coup d’oeil, en Patrick Chartol, c’est la modestie, la gentillesse qui l’imprègnent. Cette allure d’éternel grand dadais qui semble s’excuser d’avoir autant de talents. Certains doivent arracher aux nuits blanches le « poème ennemi », comme chantait Nougaro. A d’autres, tout semble venir si facilement qu’ils doivent lutter contre la pente facile du dilettantisme. D’autres enfin travaillent si bien que le résultat semble facile.

Patrick nourrit sa pétillante famille et ses deux passions (jazz et peinture) en assemblant, avec une patience d’horloger, des pièces de musique électronique prisées autant des documentaristes que des publicistes... ou l’équipe de campagne d’un candidat aux présidentielles.

On l’imagine assez bien nous égarer de ses nappes sonores dans le labyrinthe de glace d’un parc d’attraction arctique. Son cher Jan Garbarek apprécierait...

Mais la froideur n’est pas son fort. Car, dans son optimisme hédoniste, il savoure les nouvelles technologies avec la même gourmandise que les épices orientales savamment orchestrées par sa compagne. Il les dispense avec la même générosité que les vives couleurs de ses plexiglas.

C’est ainsi que Patrick, producteur de bandes son chics, enrichit Patrick le bassiste et compositeur du groupe électro-jazz After in Paris, ponctuant volontiers ses partitions de sons synthétiques et d’extraits de dialogues de ses films cultes.

Il alimente aussi Patrick, pilier de la section rythmique du Claire Michael quartet (saxophoniste prodige, héritière mystique et inspirée de l’immense John Coltrane), pour un jazz modal extatique qu’ils portent ensemble à ébullition.

Et il irrigue Patrick l’artiste plasticien touche à tout qui s’expose en ce moment à Bures-sur-Yvette.

Cette expo tiendrait presque d’un croisement entre le salon high tech de Las Vegas et le concours Lépine. Il y a chez cet artiste / artisan une jubiliation à triturer les matériaux, des plus abstraits que sont les logiciels aux plus palpables comme la peinture au couteau. Il expérimente, il sélectionne et, enfin satisfait du résultat, il décline, change de support, tire une version colorée inoffensive d’une inquiétante fresque en noir et blanc...

Il sait depuis longtemps, comme la science vient de le démontrer, que tous les sens se combinent dans notre cortex et il nous invite à partager ce délicieux mélange. Il fait sortir sa musique de ses tableaux, diffuse des parfums qui nous imprègnent de façon subliminale tandis que nous laissons notre esprit dériver avec les images mouvantes d’une vidéo...

Son travail s’organise sur le thème du jeu et tout, y compris un paper board laissé à disposition des dessinateurs en herbe, tout incite le public à réagir, à participer. Et pour celles et ceux qui (plus d’un siècle après Kandinsky...) continuent d’être déroutés par « l’art abstrait », quoi de plus réconfortant que le jeu consistant à déceler, comme font les rêveurs dans les nuages, la forme familière d’un poisson ou le profil inquiétant d’un monstre !

Pour finir, pontifions un peu : il y a deux sortes d’art « moderne ». Celui qui exprime l’horreur de notre époque, qui nous parle angoisse existentielle et pousse son cri avec Munch, nous plonge dans les horreurs de la guerre comme Grosz, dresse le constat déprimant du machinisme et de la déshumanisation. Et il y a l’autre, celui qui, humblement, ne cherche qu’à nous réjouir l’âme. C’est le Douanier Rousseau et sa jungle d’Epinal, Matisse qui voyait sa peinture comme « un bon fauteuil », Miro et ses drôles de griboullis... Un art qui se dispense de ces commentaires abscons qui, trop souvent, nous tiennent éloignés de l’oeuvre au lieu de nous en rapprocher.

Avec Patrick Chartol, sons, mouvements, senteurs, formes et couleurs, tout est là, à portée. Il n’y a rien à comprendre. Savourez. A vous de jouer !

Philippe Gailhardis

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